Rêver, c’est aussi vivre
À propos
Il se nomme Charles Perlmutter, il est psychologue depuis longtemps,puisque tout lecteur peut l’avoir déjà rencontré dans « Journal d’une femme adultère ». Un jour, une femme, Hanna, frappe à la porte de son cabinet de Long Island City. Elle vient car elle fait des rêves très particuliers, tout à fait inhabituels. Sidérants même, ils ne sont pas dérangeants, mais fascinants tout simplement. On dirait des histoires, ou des romans, avec commencement, milieu et fin.
« Coincée dans un roman de Kafka », « Le jongleur soviétique Caasi cherche une méguila pour faire venir sa famille aux États-Unis », « Dieu se rase devant son petit écran », « Une rouquine délurée flirte avec le mari », « La plaque d’Hitler », « La princesse qui voulait emprunter un sourire », sont quelques un de ces fameux rêves qui ont éveillés la curiosité de Charles. Puis l’ont impressionnés. Petit à petit, il se laisse séduire, d’autant qu’elle avoue avoir fait l’amour avec lui, dans ses rêves, bien évidement. Dans l’univers clos du cabinet du psychologue, se joue et se rejoue une tragédie grecque sur des airs de fantaisie que ne renierait ni Lewis Carrol, ni Philip Roth.
Ce roman n’a pas encore été publié aux États-Unis. Cette édition française est donc la première édition.