Chaudes larmes
» Tout commence par une rencontre. Lorsque l’anticyclone des Açores croise une masse d’air chaud aux allures frivoles, quelque part au dessus des Pyrénées. C’est une belle saison. Un peu étouffante, peut être. À peine troublée des vibrations machinales de l’urgence. Téléphones et fax, sirènes et sonneries… Dans ce silencieux tintamarre, Pierre Louis s’étouffe, suffoque et meurt en toute discrétion. » Avec Pierre Louis, elle a partagé un nom, beau-coup d’amour et finalement une séparation. Elle quitte son île Anglo-normande, et se rend à Paris. Mais dans le désordre caniculaire, le corps a disparu. Commence la quête. Avec la chaleur qui saisit à la gorge, comme l’assassin au coin du bois.