Aimer son pyjama et le bien d’autrui, les escaliers et son téléphone portable, le conteneur, son tube d’aspirine, les montres et son livre de cuisine, son Formule 1, son musée et son album de photos, ne suffit pas à s’inscrire à l’école des «amours modernes». Il convient d’y ajouter un peu de solitude, beaucoup d’humour, une dose d’impénitente misanthropie, plein de déclarations d’amours aux autres, le comique d’un Tati, le talent d’un Ascaride.